miércoles, 30 de mayo de 2012


Une journée à la caserne des pompiers.


  1. Je me réveille à six heures et demi du matin pour prendre le bus à sept heures. Je prends la ligne vingt-quatre qui m’emmène à l’université. Là-haut, je vais à la cafétéria "Mad Pilots" où je mange mon petit déjeuner. À sept heures et demi je dois être à l’arrêt d’autobus qu’il y a en face du deuxième bâtiment de salles de classe pour prendre le bus qui fait la route intérieure du campus. Ce bus m’emmène  jusqu’au bâtiment des services techniques de recherche de l’université d’Alicante qui est à trois minutes à pied de la caserne des pompiers. J'arrive dans la caserne  vers sept heures et quarante minutes.

  1. La première chose que je fais en arrivant c’est mettre la nourriture que je transportais dans mon sac à dos dans le frigo. J’emmène  de la nourriture car on travail pendant 24 heures dans la caserne. Après cela, je vais au vestiaire et je m’enfile mon uniforme. À huit heures on doit être au garage où on fait la relève. Chaque pompier doit signer pour justifier son assistance et après prendre une lampe de poche et un émetteur-récepteur radio portatif pour les mettre avec son équipement de protection individuelle. On met cet équipement dans des bancs à portemanteau qu’il y a près des camions et, selon le poste de travail que chacun ait, nous révisons le camion qui nous correspond.
  1. Peut être qu’on doit réviser le fonctionnement de la pompe du véhicule, ou des outils de désincarcération, ou de la tronçonneuse. S’il y a eu un incendie dans la nuit, on doit alors réviser  les tuyaux d’incendie, l’eau, le diesel et les bouteilles d’air comprimé. À neuf heures on va au gymnase pour faire des exercices d’échauffement jusqu’à neuf heures et demi lorsque arrive la boulangère. On a demi heure pour prendre un en-cas.
  1. Après de prendre l’en-cas on retourne au garage où on fait le nettoyage des camions et aussi on fait une pratique dont on simule une urgence réelle. Quelques fois on reçoit des écoles et on montre la caserne aux enfants.

 

  1. Mais aujourd’hui, lorsque l’on montrait le garage aux petits garçons, la sirène a sonné. Par les haut-parleurs on nous a fait savoir qu’il y a un incendie dans un appartement au village de Mutxamel. Je dois conduire la pompe à incendie. Je monte dans le camion et allume les lumières d’urgence et l’émetteur. Alors je demande l'adresse exacte au radio opérateur. Lorsque tous mes collèges sont montés dans le camion je pars vers l’incendie.
  1. La sirène sonne fort, les voitures s’arrêtent lorsque l’on traverse les carrefours. Je prends l’autoroute, car l’incendie est situé à la zone nord de Mutxamel donc c’est mieux d’arriver au village depuis la route de Xixona. Je traverse le tunnel de Sant Joan avec plus de vitesse que le reste des voitures car je conduis un véhicule d’urgence.
  1. Lorsqu’on arrive au bâtiment incendié, on voit les flammes qui sortent par les fenêtres. C’est un incendie grave. L'une des chambres était complètement brûlée. La fumée s'étend sur tous les séjours du logement. Il fait beaucoup de chaleur à l'intérieur. Lorsqu’on arrive, j’arrête le camion, mets le frein de stationnement et actionne le levier qui sert pour brancher la pompe à l’essieu du camion. Tout de suite j’enfile mon casque, je descends du véhicule et je vais derrière pour opérer la pompe. Pendant ce temps mes collègues ont mis les tuyaux d’incendie dans le bâtiment et l’un d’eux m’a donné le raccord de l’extrême le plus proche au camion pour le connecter à l’un des raccords de la pompe. Mes collègues qui sont à l’intérieur de l’appartement en feu me demandent de l’eau par l’émetteur-récepteur radio portatif. Je leur en donne rapidement car la chaleur à l’intérieur du logement est insupportable.
  1. Le propriétaire de l’appartement nous dit que son chat est resté dans l’appartement. Comme le feu est maintenant contrôlé, le sergent me commande de aller le chercher. Je monte à l’appartement. Ce que je vois là-haut est affligeant. Tout le logement est noire. La fumée est sorti par la cuisine. Il y avait un serin à l'intérieur de sa cage au-dessus du frigo. Il est mort, il est noire, il est raide. Il n’y a aucun signe du chat. J’entre dans une des chambres qui n’est pas brûlée. Alors je pense que peut être le chat soit caché dessous le lit. Je sors le lit d’appoint qu’il y au-dessous du lit principal, et au fond du meuble je vois deux points roux qui me regardent. J’étire mon bras et saisi le chat.
  1. Lorsque j’arrive dans la rue, le maître du chat éclate de bonheur car il pensait que son chat était mort. Il me remercie avec beaucoup d’effusion pour avoir sauvé son chat. Je lui dis que c'était son chat celui qui s'était sauvé lui-même parce qu’il avait été se caché sous le lit, mais je me sens très bien parce que c’est moi qui l’ai trouvé. Des moments comme celui-ci, j’aime mon travail.
  1. Deux heures après nous sommes retournés à la caserne. Tous sales et fatigués. On se douche et tout de suite on prend le déjeuner. Après je vais étudier dans la bibliothèque de la caserne. J’étudie jusqu’à sept heures lorsque je vais au gymnase. Alors je fais de l’aviron et de la musculation. Après une autre douche je prends le dîner, alors je me fais le lit, me brosse les dents et vois la télévision.
  1. C’est ça bonne chance car c’est l’heure d’aller au lit et la sirène n’a pas sonné. Je m’endors rapidement. Mon sommeil s’arrête brusquement lorsque le son criant de la sirène fait sauter mon coeur jusqu’au plafond. Par les haut-parleurs sonne la voix du radio opérateur. Il dit qu’il y a un accident dans la route entre El Campello et Vila Joiosa. Nous montons dans le camion et partons avec la sirène et les lumières d’urgence allumées.
  1. En arrivant, à nouveau, l’image est dantesque. Deux voitures ont heurté de face et les deux conducteurs sont morts dans leurs sièges. L’avant de la voiture qui allait vers La Vila était en ce moment-là en direction El Campello  et vice versa. L’impact avait été si fort que les deux voitures ont tourner ‘a cent quatre-vingt degrés en l’air.



  1. Je descends du camion et allume les puissants réflecteurs qu’a le camion au-dessus d’un poste télescopique. De cette façon on peut éclairer sans aucun problème l’accident. La Guardia Civil avait déjà arrêté la route car les voitures sont au milieu de la chaussée. Nous devons désincarcérer la compagne de la voiture verte qui allait vers La Vila. C’est une grande blessée. Nous devons couper le montant droit de devant et le montant d’entre les deux portes pour libérer la porte de devant. Pour le faire, il faut utiliser les outils de désincarcération. Je les porte du camion au pied de la voiture. Avant de faire les coupes qu’il faut mettre, on doit  sangler le volant pour éviter le déclenchement intempestif de son coussin gonflable de sécurité car ceux-ci sont souvent électriquement autonomes, et comportent plusieurs charges explosives indépendantes appelées chaînes pyrotechniques. Une fois le volant sanglé, il faut couper les montants, ouvrir la porte, mettre une planche dessous la blessée pour prendre soin de sa colonne vertébrale et extraire la victime de la voiture avec beaucoup de précaution. Pendant que l’on fait cela, l’hélicoptère était arrivé. Rapidement on met la blessée dans l’aéronef qui décolle tout de suite.
  1. Alors nous devons ramasser tous les outils que nous avons utilisés. Lorsque tout est de nouveau dans le camions on part vers la caserne.
  1. C’est tard mais il faut dormir un peu car c'est deux heures du matin. Heureusement il n’y a plus d’urgences et on peut dormir jusqu’à sept heures lorsque l’on se réveil. À ce moment, on met le linge dans le casier, on se rase, on prend le petit déjeuner et on va au garage pour faire la relève. Nos compagnons resteront à la caserne pour nous. La journée de travail a fini. Je pourrais être heureux pour le chat mais je suis très triste pour les morts et la blessée. J’appelle une amie journaliste pour lui demander quel est l’état de la blessée. Elle me dit qu’elle est bien et qu’elle soignera vite. Oui, elle sera soignée mais sans son mari. Les voitures sont très dangereuses, conduisez avec précaution s’il vous plaît.

martes, 15 de mayo de 2012

http://alhauridigital.com/2011/04/01/julio-anguita-renuncia-a-su-pension-vitalicia-como-ex-parlamentario/

No me sorprende, en absoluto, esta noticia. Recuerdo a Don Julio -porque a él sí le pongo el don- cuando le vi en un mitin en Elda a finales de los años ochenta. En aquella época en que su lema como coordinador de Izquierda Unida era programa, programa y programa. Entonces cuando abogaba por el desarrollo sostenible; por que España fuera la primera nación en producir las cosas para que durasen, por salir del círculo vicioso de la obsolescencia programada. Pero las voces críticas -las mismas que nos han llevado de cabeza a esta ruina sin paliativos- decían que no podríamos competir que el sistema se alimentaría él sólo, que al mercado había que dejarlo a él solito, que íbamos a atar los perros con longanizas. Pues, ahora ya tienen la respuesta. El tiempo, como siempre, le ha dado la razón a quien la tenía; se la ha dado a Don Julio Anguita. Así que no me sorprende que diga que tiene bastante con su pensión de maestro, porque Julio es el hombre más rico que conozco. Su riqueza es moral, intelectual, humana... su riqueza es de verdad

lunes, 14 de mayo de 2012


La célébrité


Il y a longtemps la célébrité était une question qui devait voir avec la création artistique ou avec la grandesse politique d’une personne. Il pouvait être célèbre un peintre, un écrivain, un député du parti au pouvoir, ou une danseuse. Les gens les admiraient parce qu’ils avaient des mérites pour les reconnaître; peut être qu’un aurait peint avec un nouveau style, qu’un autre aurait écris le plus beau roman de son époque, que le député aurait réussit qu’une nouvelle loi soit adoptée après un discours historique devant le parlement, ou que la danseuse aurait dansé le Lac des cygnes comme personne avant l’avait jamais fait. Tous, pour arriver à dominer leurs arts, avaient étudier leurs disciplines et les ont répéter pendant des années.

Pourtant, aujourd’hui, avec la télévision poubelle, il y a des gens qui sont appréciés comme des célébrités, mais qu’ils n’ont pas de mérites ni artistiques, ni politiques. Sa seule réalisation, c’est qu’ils sont allés à la télévision. La plus part n’ont pas a inventé l’eau tiède, donc ils ont le cul bordé de nouilles depuis qu’ils sont apparu quelque jour à l’écran.

Il y a beaucoup d’exemples dans le monde, mais en Espagne la célébrité plus absurde c’est Belen Esteban dont l’unique mérite a été de coucher avec un torero encore plus cloche qu’elle.

miércoles, 9 de mayo de 2012

Sarcollande


Sarcollande


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Ce week-end il aura lieu le second tour de l’élection présidentielle français. L'actuel président de la république veut être au front de l'état français pendant quatre ans encore. D’un autre côté, son rival, François Hollande, veut arriver à l'Élysée bien qu’il n’ait jamais été ministre dans un gouvernement français. On doit rappeler que Sarkozy a été ministre d'intérieur avant qu’il soit en 2007 candidat à l’élection présidentielle. Mais, pour lui, l'actuelle situation de crise économique est plus différente qu’il y a quatre ans, parce que tout à l’heure, les électeurs sont déchantés à cause des décisions politiques et économiques qu’il a pris avec la présidente de l’Allemagne Angéla Merkel, lesquelles ont porté des effets très négatifs sur la vie des plus vulnérables autour du territoire de l’Union européenne.

C’est possible que, vu de l’Espagne, il puisse sembler difficile que Hollande gagne à Sarkozy; peut être parce que à la télévision espagnole l’actuel président français est un être omniprésent. Son mariage avec la populaire Carla Bruni a aidé beaucoup cette présence permanente dans les médias espagnols. Hollande, de son côté, est un politique dont les médias n’ont jamais parlé de lui, mais qui a une longue trajectoire politique en France. Il a été pendant onze ans (de 1997 à 2008) le Chef du Parti Socialiste et a été marié avec Ségolène Royal qui fut la candidate du PS à l’élection présidentielle de 2007, dont elle a perdu le second tour justement contre Nicolas Sarkozy. Voila, donc, un duel politique entre deux poids lourds de la politique où quiconque peut gagner. Il faut atteindre dimanche pour connaître les résultats. Personne peut savoir aujourd’hui ce qui se passera le 6 mai.